«Je ne peux pas imaginer ce que cet endroit serait - je ne peux pas imaginer ce que le pays serait - avec Donald Trump comme président. Pour le pays, cela pourrait être quatre ans. Pour le tribunal, cela pourrait être - je ne veux même pas envisager cela.»

La personne qui a exprimé cette opinion n'est pas qu'un simple quidam. Il s'agit de Ruth Bader Ginsburg, qui n'a pas caché son opposition à Donald Trump lors d'une interview au New York Times. Elle a également confié à un journaliste de CNN que le candidat républicain est un «faux-jeton» qui ne devrait pas échapper à l'obligation de rendre publiques ses feuilles d'impôts.

De toute évidence, la juge progressiste de la Cour suprême ne croit pas que le devoir de réserve s'applique à elle. Trump a déclaré que les critiques de Ginsburg étaient une «honte pour la Cour» et réclamé des excuses.