«Hier soir, j'ai fait une grossière généralisation, et ce n'est jamais une bonne idée. Je regrette d'avoir dit ''la moitié''. C'était erroné. [...] Ce qui est vraiment ''déplorable'', c'est que Donald Trump a embauché un champion du soit-disant mouvement ''alt-right'' pour diriger sa campagne et que David Duke et d'autres suprémacistes blancs voient en lui un champion de leurs valeurs.»

- Hillary Clinton, revenant sans vraiment s'excuser sur sa déclaration de la veille sur les partisans «déplorables» de Donald Trump, les «racistes, sexistes, homophobes, islamophobes et xénophobes».