«Bonne Année à tous, incluant mes nombreux ennemis et ceux qui m'ont combattu et qui ont perdu si fort qu'ils ne savent plus que faire. Amour!»

Sur Twitter, en cette fin d'année, Donald Trump aura donc vanté la grande intelligence de Vladimir Poutine, un président étranger aux tendances autoritaires ayant peut-être interféré dans l'élection présidentielle américaine, tout en traitant d'«ennemis» une partie des citoyens du pays qu'il s'apprête à diriger en tant que président.

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