Malgré une rencontre jugée importante la veille entre le secrétaire d'État adjoint Kurt Campbell et l'opposante Aung San Suu Kyi - qui a été autorisée pour l'occasion à faire une de ses très rares apparitions publiques -, Washington n'a pas l'intention de lever les sanctions contre la Birmanie, a rapporté hier un diplomate américain, Scot Marciel. Aung San Suu Kyi a été placée sous résidence surveillée pendant les 14 des 20 dernières années.