Voici le top 10 des navets cinématographiques de l'année...

1- Aliens VS Predator : Requiem (0)

Si vous le voulez bien, allons droit au but, sans ménagement: ce film est une bouse, et il convient de l'approcher avec une épingle à linge sur le nez.

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2- Expelled : No Intelligence Allowed (0)

Chacun est évidemment en droit de trouver un sens à sa vie et de répondre à la grande question qui taraude l'humanité depuis la nuit des temps : d'où venons-nous? Sur le plan scientifique cependant, une certaine rigueur est de mise.

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3- Bella (* ½)

On dit toujours que les choix populaires sont indiscutables mais il y a quand même parfois lieu de s'interroger. Malgré la présence d'une flopée d'excellents films sélectionnés au Festival de Toronto en 2006, c'est Bella qui s'est distingué en raflant le prix du public. Franchement, c'est à n'y rien comprendre.

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4- Disco (* ½)

Deux ans après Camping, Franck Dubosc renoue professionnellement avec le réalisateur Fabien Onteniente dans une comédie qui joue platement sur la nostalgie. Cette fois, l'humoriste et comédien s'est transformé en Tanguy de bord de mer sans avenir et qui peine à passer des vacances avec son fils qui habite en Angleterre.

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5- Disaster Movie (* ½)

Disaster movie. Film catastrophe en version française. Elle est facile mais elle est vraie: le titre dit tout de la qualité de cette énième comédie parodique — «genre» qui, du temps des Spaceballs, Top Secret, Airplane! et même des premiers Scary Movie, a donné des moments bêtement jouissifs (c'est un compliment) mais qui a atteint le fond du baril avec Meet the Spartans.

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6- Sex Drive (* ½)

On se méfie toujours un peu quand on entend des artisans se réclamer d'une école. Dans le cas de Sex Drive (Plein gaz en version française), le cinéaste Sean Anders évoque le cinéma de John Hughes (Sixteen Candles, The Breakfast Club) pour décrire son intention d'offrir une comédie à l'intérieur de laquelle réside quand même un vrai propos sur l'adolescence. La réalité est tout autre.

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7- Mes amis, mes amours (* ½)

On s'en veut presque de ranger ce film parmi les exemples de ratages absolus tant il est fait de bonnes intentions et tant il cherche à charmer le spectateur par sa fantaisie et sa légèreté. Or, rien n'y fait, le charme n'opérant jamais. À la fin, on constate l'échec, on se prend la tête et on se demande: à qui la faute? Mes amis, mes amours, adaptation plus ou moins libre d'un roman du mielleux Marc Levy, réalisée par Lorraine Levy, sa soeur, donne raison aux snobs détracteurs de l'écrivain populaire, qui le trouve franchement cucul... 

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Photo: Séville

8- Saw V (0)

Le personnage du Jigsaw, sorte de psychopathe «de luxe» ou Hannibal Lecter des pauvres (mais suavement interprété, pour une cinquième fois, par Tobin Bell) rejoint les épais Jason, Michael et Freddy aux rangs des bonhommes sept heures qui ne font plus peur à personne et, du coup, la série Saw (Décadence en français), amorcée sans prétention par quelques jeunes gens bouillants d'imagination, se transforme pour de bon en franchise commerciale à la Friday the 13th, Halloween et A Nightmare on Elm Street.

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9- 88 minutes

Ça sent le navet. Sorti en Europe et sur DVD un an avant sa sortie « domestique », 88 minutes est né des bonnes oeuvres de 19 producteurs et d'un réalisateur lui-même producteur, qui signe son premier, et malheureusement pour nous, pas dernier, long métrage.

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10- À venir...

Photo: Séville