En tant que chef de fil de l'industrie des eaux embouteillées au Québec, Naya multiplie ses efforts environnementaux depuis les quatre dernières années. Elle a été la première entreprise d'eau embouteillée au monde à introduire des bouteilles faites à 100% de plastique recyclé post-consommation. Elle est active dans la revitalisation des cours d'eau en partenariat avec la Fondation de la faune du Québec. De plus, elle est devenue la première société canadienne, tous secteurs confondus, à obtenir la certification de l'empreinte carbone de ses produits par The Carbon Trust, la référence mondiale en la matière.    

Comme la réduction de l'empreinte environnementale est au coeur de la stratégie de Naya, nous avons poussé notre engagement encore plus loin, cette année, en créant un partenariat avec le Jour de la Terre. L'introduction de la Fontaine NAYA est un geste de plus pour réduire notre empreinte environnementale et elle offre la possibilité d'acheter de l'eau en vrac, servie dans un verre ou à même la bouteille réutilisable de l'usager. Ainsi, nous offrons aux festivaliers de Montréal complètement cirque une eau de source naturelle, de qualité exceptionnelle, captée au Québec et sans bouteille de plastique à usage unique.

L'industrie de l'eau embouteillée est très critiquée quant à l'impact environnemental de la consommation de son produit. Quoique l'eau du robinet à Montréal soit d'une très bonne qualité, il faut noter que toutes les eaux ne sont pas les mêmes et qu'il y a une différence fondamentale entre une eau de source naturelle comme Naya, provenant d'une nappe souterraine et naturellement potable à la source, et une eau d'aqueduc, non potable à l'origine et qui doit être traitée chimiquement pour être rendue potable.

Ces deux produits sont différents et il est déplorable de faire un amalgame en considérant les eaux traitées (disponibles au robinet, ou dans certains cas vendues en bouteilles après avoir été l'objet de traitements supplémentaires) et les eaux de source naturelles comme le même produit.

Dans ce contexte et après avoir déployé beaucoup d'efforts afin de réduire notre empreinte environnementale, il est très décevant et trop facile de dire que nous tirons avantage de nos partenaires ou que nous faisons de l'«écoblanchiment» afin de redorer notre image.