Comme un rat, Gbagbo est bloqué dans sa tanière, tourne en rond, sans possibilité de rectifier son sort. Il est pris en tenaille par toutes sortes de sanctions qui se précisent aux mauvais perdants. L'homme, nonobstant les apparences et ses actes de défiance et de bravoure, cachant mal la peur de lendemains incertains, le sait très bien. On ne peut plus se comporter, en 2010, en temps de démocratie, comme si on se trouvait dans un passé, très  lointain, où l'heure était à l'enracinement de la dictature et de la parole unique.

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