Nous vous remercions
C’est nous qui vous remercions pour votre immense contribution à notre société. Prenez soin de vous.
Marc Jarry, Montréal
Travailleur infatigable
Merci, Monsieur Castonguay, pour toutes ces années. Vous avez été un travailleur infatigable durant plus de six décennies au service de vos concitoyens. Je vous ai croisé à plusieurs reprises au Domaine Forget de Saint-Irénée sans avoir le courage de vous exprimer toute mon admiration. Je le fais aujourd’hui avec beaucoup d’émotion. Vos actions et vos textes auront marqué plus d’une génération.
Claude Legault, Montréal
Pensez à vous
J’aimais beaucoup lire vos essais nuancés et inspirants sur tant de sujets. Je les faisais suivre à des amis qui n’ont pas La Presse. Je me souviens de vous depuis le début des années 70 quand mon père médecin spécialiste a fui aux États-Unis pour protester contre l’assurance maladie. Rapidement, j’ai réalisé que la santé ne devait pas être une business, et devait profiter à tous. À 91 ans, mon père nous a quittés le mois dernier et, je vous l’accorde, vieillir est difficile. Vous laissez une riche contribution dont vous pouvez être fier. Prenez le temps qui reste pour penser à vous.
Jean de Blois
Bonne retraite
Bonn retraite, Monsieur Castonguay. Merci pour un système de santé imparfait, mais encore parmi les meilleurs et sûrement le plus équitable au monde.
Fabienne Grou, médecin de famille retraitée
Un grand monsieur !
Merci beaucoup, Monsieur Castonguay, pour votre service sans relâche à l’intérêt de notre société.
Paul J. Massicotte, sénateur
Il m’a fait réfléchir
Dommage que Monsieur Castonguay cesse d’écrire. Je n’étais pas toujours d’accord avec lui, mais il m’a souvent fait réfléchir et changer d’idée. Bonne chance à lui !
Jean-Pierre St-Georges
Votre esprit est resté jeune
Mille mercis, Monsieur Castonguay. Mon mari et moi avions toujours du plaisir à vous lire et à partager vos analyses. Votre grande sagesse me redonnait espoir en l’humanité. Vous allez nous manquer, vous allez me manquer. Notre société aurait besoin de davantage de penseurs qui élèvent leur discours au-delà des préjugés, des partis pris et des opinions sans fondement. Votre esprit est resté jeune, Monsieur Castonguay, vous l’avez toujours gardé en éveil. Je vous admire.
Bernadette Pelletier, Matane
Profitez de chaque moment
Après avoir tant pensé aux autres, il est temps de penser à vous. Profitez de chaque moment avec ceux qui vous entourent. Et soyez rassuré : vous avez une place de choix dans le cœur des Québécois.
Nicole Amiot
Un des pères de la nation
Je tiens à exprimer un grand remerciement à Monsieur Castonguay pour ses chroniques judicieuses et avisées durant plusieurs années dans La Presse, mais surtout, je veux exprimer toute ma reconnaissance pour son rôle déterminant et sa participation bénéfique pour les Québécois à la vie politique et au régime de santé public. Monsieur Castonguay, vous êtes un des pères de la nation. Merci beaucoup et bonne santé !
Clément Filteau, Longueuil
Pilier de la Révolution tranquille
Un des derniers piliers de la Révolution tranquille et du début du Québec moderne disparaît de la scène éditoriale. Dommage, ses idées nous ont éclairés pendant 50 années. Merci, Monsieur Castonguay.
Gilbert Gosselin
Félicitations pour ce que vous avez accompli
Qu’il me soit permis de vous féliciter pour tout ce que vous avez accompli pour les Québécois, en particulier l’assurance maladie pour tous. La seule ombre au tableau : l’indépendance du Québec, car à mon humble avis, vous étiez fédéraliste. Par contre, comme votre expérience de la vie politique dépasse largement la mienne, étant un simple citoyen, peut-être aviez-vous raison. En raison de mon âge, je n’aurai probablement jamais la réponse.
Yvon Bilodeau, Ascot Corner
Une contribution inestimable
Un merci du fond du cœur pour votre contribution inestimable à notre système de santé. Merci pour vos chroniques avisées, rigoureuses, remplies de sagesse, d’humanisme pour le bien-être de la population québécoise. Espérons que le message de votre dernière chronique sur les personnes âgées va venir ébranler les orientations actuelles du gouvernement et le conduire à investir significativement dans les soins à domicile plutôt que dans les structures qui ne serviront qu’à une minorité. Nous vous souhaitons « une belle vieillesse » !
Nicole Ricard, infirmière