Quelle bonne nouvelle - pour la société - que ce congédiement ! En effet, ainsi libéré des contraintes politico-administratives qui lui étaient imposées dans l'exercice de ses fonctions, Jacques Duchesneau pourra dorénavant s'exprimer librement sur ce qu'il a appris durant son mandat. Et les grands stratèges qui ont réussi à l'éliminer nous prouvent ainsi combien il avait raison : l'UPAC et son chef ne sont pas à la hauteur ni de la tâche ni de la confiance qu'ils devraient créer au sujet de leur crédibilité et de leur indépendance face au politique. M. Duchesneau a donc encore une fois prouvé sa grande compétence, son honnêteté et sa rigueur. J'espère sincèrement qu'il reviendra sur la place publique et nous donnera l'heure juste sur cet immense panier de crabes dont il a à peine soulevé le couvercle. J'attends, et je ne suis certainement pas le seul.