Les dirigeants européens, aussi conscients soient-ils des risques, prennent en fait un pari: la monnaie unique et l'intégration européenne tiendront le coup, car personne n'a intérêt à mettre l'édifice à plat. Une sorte de «too big to fail» (trop grand pour faire faillite) renvoyé à la face des milieux bancaires et financiers, habitués à brandir cet argument pour exiger d'être sauvés de la banqueroute en cas de crise.

Lisez la suite sur le site du quotidien suisse Le Temps:

https://emploi.letemps.ch/Page/Uuid/24e02b04-9ea0-11e0-95c8-8451a0963bdb/La_roulette_grecque_continue_de_tourner