La procédure en cours, qui va durer, empêche Dominique Strauss-Kahn de participer à l'élection primaire du Parti socialiste. Le choc de l'affaire - ce «coup de tonnerre», comme dit justement Martine Aubry, la première secrétaire du PS - est tel qu'il chasse M. Strauss-Kahn de la scène politique. Quelle que soit sa culpabilité.

Lisez l'éditorial du quotidien français Le Monde : https://www.lemonde.fr/dsk/article/2011/05/16/le-temps-juridique-contre-le-temps-politique_1522591_1522571.html#ens_id=1522342