L'administration Bush avait insisté sur le fait que «des techniques d'interrogation améliorées» - la torture - étaient nécessaires pour soutirer des informations auprès des prisonniers et prévenir des attaques terroristes contre les Américains. Peu importe si c'était immoral, peu importe les dommages énormes causés à la réputation des États-Unis dans le monde, et peu importe l'importance relative des renseignements recueillis. Maintenant, comme nous l'avions craint, il devient plus difficile de tenter et de faire condamner les terroristes accusés.

Lire la suite de l'éditorial (en anglais) du New York Times:

https://www.nytimes.com/2010/08/27/opinion/27fri1.html?_r=1&hp