Quand la prise d'otages dramatique a tourné au carnage aux Philippines, le palais présidentiel a pris trois heures avant de réagir au bain de sang. Il s'agissait de la première crise majeure du président depuis son élection, et le gouvernement semble avoir échoué sur toute la ligne.

Lisez l'éditorial du quotidien philippin The Manilla Times:

https://www.manilatimes.net/index.php/opinion/24452-whos-in-charge