L'appel au Fonds monétaire international que la Grèce menace de lancer signerait un échec pour la monnaie unique.

Cela semblait inconcevable il y a quelques semaines encore. En deux jours pourtant, l'idée que le Fonds monétaire international (FMI) vienne au secours de la zone euro n'est plus guère contestée que par la France.

Vendredi, l'Allemagne s'est clairement ralliée à l'intervention au chevet de la Grèce de celui qui est souvent présenté comme le pompier des économies émergentes. L'Italie, les Pays-Bas, ou encore la Finlande, approuvent aussi la démarche. Les Européens ont jusqu'au sommet des 25 et 26 mars pour trouver une issue à la crise de refinancement que connaît Athènes, et au test de crédibilité que subit la monnaie unique.

 

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