Les «stress tests» européens ont rendu leur verdict. Sur 91 établissements de crédit passés au crible, seuls 7 ont échoué. Cinq caisses d'épargne espagnoles inconnues, une banque grecque et une allemande déjà en faillite. La moisson est maigre. Et les besoins en fonds propres supplémentaires modestes, à peine 3,5 milliards d'euros au total. A croire que les inquiétudes des marchés sur la capacité des banques européennes à supporter un nouveau choc majeur étaient largement exagérées.

Lisez la suite de l'éditorial du journal économique français Les Échos.