Les investisseurs américains qui ont repris la chocolaterie Laura Secord il y a cinq ans semblent prêts à jeter l'éponge. C'est ce qui ressort d'une entrevue que le chef de la direction de la chaîne, Bryan Crittenden, a accordée au quotidien The Globe & Mail.

En dépit de la fermeture des magasins les moins performants, les ventes comparables de cette chaîne de 129 magasins, avec un chiffre d'affaires d'environ 80 millions de dollars, sont en baisse de 2,5% depuis le début de l'année.

Ce n'est pas si étonnant que cela, étant donné que le chocolat est une dépense hautement discrétionnaire en temps de récession. Mais plus profond est le problème d'image de Laura Secord, une chaîne fondée il y a 96 ans.

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