Spike Lee a travaillé avec Michael Jackson et le considérait comme un ami. Mais le réalisateur dit avoir appris beaucoup sur le Roi de la pop en consultant des archives pour les besoins du documentaire sur lequel il planche en ce moment.

En s’intéressant tout particulièrement à l’époque de l’album Bad, Spike Lee dit avoir fait des découvertes exceptionnelles.

«Nous avons vu des images inédites, des séquences que Michael a tournées lui-même, des choses qui se passaient en coulisses», a-t-il affirmé lundi.

«Nous avions un accès total aux trésors de Michael Jackson. Il a écrit 60 maquettes pour Bad, et seulement 11 se sont retrouvées sur l’album. Il a donc été possible d’écouter beaucoup de trucs, alors ce fut une expérience formidable.»

D’après Spike Lee, il n’est pas nécessaire d’être un admirateur de Michael Jackson pour s’intéresser au documentaire, qui sortira dans le cadre du 25e anniversaire de la parution de l’album Bad.

Le public découvrira également une facette peu connue de la personnalité de l’artiste, a fait valoir le cinéaste.

«Il avait un excellent sens de l’humour, et il était drôle, a lancé Spike Lee. On verra beaucoup d’images le démontrant.»