Les 12 derniers films de Steven Seagal ne sont jamais sortis en salle, ils ont tous été expédiés directement dans les clubs vidéo. Signe indéniable d'une carrière en chute libre.

Mais l'homme fort n'entend plus se laisser marcher sur les pieds. Et le coupable de la débandade est tout désigné: le FBI.

En 2002, des documents du FBI ont établi un lien entre Seagal et un mafieux que la vedette aurait engagé pour intimider les critiques de cinéma.

«Les fausses accusations du FBI ont alimenté des milliers d'articles disant que je terrorise les journaliste. Ce genre d'allégations fait peur aux dirigeants des studios. Et elles tuent des carrières.»

Seagal exige donc des excuses en bonne et due forme du FBI. On le comprend de vouloir rétablir les faits. Mais de là à croire que sa carrière reprendra son envol... Parlez-en à Jean-Claude Van Damme.