À l'instar d'une autre autre célébrité, Martha Stewart, Richard Gere a bien des soucis dès qu'il s'agit d'apposer son empreinte dans la très chic banlieue new-yorkaise de Bedford.

L'acteur et activiste de la cause tibétaine de 58 ans et son partenaire financier ont ouvert un café et une boulangerie, qu'ils envisagent d'agrémenter d'une auberge et d'un restaurant de luxe.

Sauf que leur barrière de bois de cèdre, longue de près de 55 mètres, ne fait pas l'unanimité, selon le délégué de la commission d'urbanisme Richard Megna, venu lundi inspecter les lieux.

La réglementation urbaine à Bedford n'autorise pas les barrières et clôtures supérieures à 1 m 20 de hauteur quand elles sont parallèles à la rue. Or, celle de Richard Gere dépasse les 1 m 52.

Les maître d'oeuvre de l'acteur ont proposé aux autorités de l'urbanisme de rendre la barrière de bois plus paysagère, pour lui donner meilleure allure, a indique M. Megna. La décision de la commission d'urbanisme est attendue pour le 7 mai.