Les ententes de coproductions de films avec d'autres pays doivent être revues. Signées il y a plus de 2O ans par le gouvernement fédéral, celles-ci doivent être améliorées afin de permettre au cinéma québécois de rayonner à l'étranger.

C'est du moins ce qu'ont affirmé des représentants de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) et de Téléfilm Canada au cours d'une table ronde organisée dans le cadre du congrès de l'Association des producteurs de films et de télévision du Québec (APFTQ) qui se tient aujourd'hui à Montréal.

Il y a cinq ans, la SODEC finançait trois coproductions. En 2009-2010, l'organisme est venu en aide à 10 projets de ce genre.

Avec la hausse des budgets, plusieurs producteurs estiment que la coproduction serait une bonne façon de réduire les coûts. Pour ce faire, les ententes actuelles doivent être améliorées et de nouvelles doivent être conclues.