Les personnages nains que l’on peut voir dans la superproduction Snow White and the Huntsman ne sont pas de vrais nains : la taille des bras et des jambes des acteurs a été modifiée à l’ordinateur. Cela ne fait pas l’affaire des nains de Hollywood, qui craignent de perdre leur place au grand écran. Matt McCarthy, qui fait partie d’une troupe de théâtre de nains à Hollywood, vient d’envoyer une lettre enflammée au président d’Universal, Adam Fogelson. « En réponse à cette injustice et à ce préjudice, nous allons organiser une marche de 100 nains devant les bureaux d’Universal », écrit-il. Cela risquerait d’être l’une des manifestations les plus étonnantes jamais organisées, à L.A. Aucune date n’a encore été annoncée.



HBO dit non aux abonnements sur le Net





Pour avoir accès à HBO et suivre des séries à succès comme Game of Thrones, Veep et Girls, il faut être abonné au câble, et payer pour avoir accès à un forfait spécialisé.

Bien des gens aimeraient pouvoir s’abonner directement à la version internet de HBO, baptisée HBO GO, actuellement offerte en prime aux abonnés de l’accès câblé. Les fans viennent même de lancer une campagne sur Twitter, ingénieusement baptisée « Take My Money, HBO ! » (Prenez mon argent, HBO !). Ils proposent de payer 20 $ par mois pour avoir accès à HBO GO sur leur ordinateur ou leur iPad.




« Nous piratons Game of Thrones, nous utilisons le mot de passe de nos amis pour écouter True Blood… S’il vous plaît, HBO, offrez un abonnement pour votre service en ligne HBO GO. Nous voulons vous donner notre argent ! »




Jusqu’ici, HBO refuse, en affirmant que son entente avec les câblodistributeurs est « extrêmement bénéfique » à son modèle d’affaires et qu’une offre unique sur le web risquerait de mettre fin à ce lucratif partenariat.




Cela dit, l’hégémonie du câble semble vivre ses dernières heures aux États-Unis. Cette année, plus de trois millions de foyers délaisseront leur abonnement au câble pour se tourner vers les services à la carte et en ligne.




Un jour, HBO sera peut-être tentée de leur faire une offre. D’ici là, les fans promettent de continuer à suivre les séries… en version piratée.




Google honore le premier ciné-parc





Le premier cinéparc a ouvert ses portes le 6 juin 1933, il y a 79 ans cette semaine. Il était situé dans la ville de Pennsauken, au New Jersey, et il fallait payer 25 cents par voiture et 25 cents par spectateur pour y voir un film. Cette semaine, Google a souligné l’événement en lançant sur sa page d’accueil un court film d’animation qui montre un cinéparc des années 30, dans lequel on peut même voir un vieux camion Windstream de l’époque. Au début des années 60, il y avait plus de 4000 cinéparcs aux États-Unis. L’expansion des villes a mis fin au phénomène, mais n’a pas complètement eu raison de l’invention typiquement américaine. En 2011, on comptait encore 371 cinéparcs aux États-Unis.




Hollywood en cinq tweets





@rainnwilson : « RIP Ray Bradbury. Vous avez rendu Mars, le voyage dans le temps et Illustrated Men plus vrais que la réalité pour l’ado de 14 ans que j’étais. »

@kdn13 : « Miley Cyrus est fiancée et Ray Bradbury est mort. Ah, la vie, parfois... »

@carlawh : « Si la vie est comme un film, je me suis probablement endormie durant la partie qui était essentielle pour comprendre la suite. »

@ParisHilton : « Je viens d’atterrir à L.A. En route pour quatre réunions de suite. C’est une belle journée ensoleillée à Los Angeles aujourd’hui. ; -) »

@SnoopDogg : « Fumez, inhalez, passez. »


Traduction libre, NDLR