On attendait un coupé (rassurez-vous, il viendra), mais c'est une familiale qui se pointe chez Cadillac cette année à Montréal.

Étroitement dérivée de la berline éponyme, la CTS Sport Wagon permet à la marque de prestige de GM d'offrir une gamme aussi étoffée que celle de la concurrence. Les acheteurs auront donc le choix entre un V6 de 3,0 litres de 270 chevaux ou de 3,6 litres de 304 chevaux avec la propulsion ou la traction intégrale. Le volume utilitaire varie de 720 à 1523 litres selon que la banquette arrière soit relevée ou repliée.

 

Outre cette familiale, Cadillac braque ses projecteurs sur une autre nouveauté: la SRX. La seconde mouture de ce modèle avance de nouveaux arguments susceptibles de la rendre plus aguichante aux yeux des consommateurs. Elle adopte une taille plus humaine et sa ligne est plus ramassée. Conséquence, elle biffe de sa liste d'accessoires la troisième rangée de sièges et élimine le moteur V8 qui pourtant propulsait sa devancière.

 

En lieu et place, les concessionnaires Cadillac proposeront à la clientèle d'opter soit pour un V6 de 3 litres ou, moyennant supplément, pour un V6 2,8 litres suralimenté par turbocompresseur. Ces deux mécaniques seront associées à une boîte automatique à six rapports. À retenir également que cette génération de SRX abandonne son architecture à roues arrière motrices (celle-ci était dérivée de la CTS) au profit d'une plateforme à roues avant motrices (traction). Un rouage intégral sera offert.

 

À savoir

 

La DTS demeure la seule Cadillac à roues avant motrices toujours inscrite au catalogue.