Si vous n'êtes pas du genre à aimer vous plonger dans une liste d'accessoires complexe, la Swift+ vous attirera davantage. Sa configuration est simplement divisée en deux groupes d'options: le modèle de base et la S. Les deux offrent d'ailleurs beaucoup d'équipements de série (on ne peut en dire autant de l'Echo Hatchback de base): servodirection, tachymètre, deux coussins gonflables et prise de courant auxiliaire.

Si vous n'êtes pas du genre à aimer vous plonger dans une liste d'accessoires complexe, la Swift+ vous attirera davantage. Sa configuration est simplement divisée en deux groupes d'options: le modèle de base et la S. Les deux offrent d'ailleurs beaucoup d'équipements de série (on ne peut en dire autant de l'Echo Hatchback de base): servodirection, tachymètre, deux coussins gonflables et prise de courant auxiliaire.

Une bonne stratégie pour s'attirer la clientèle dans le marché des sous-compactes: Suzuki a compris qu'il fallait tout de même offrir un certain nombre de commodités d'usage même sur le modèle de base.

Toujours dans le rayon des avantages pratiques, la Swift+ possède aussi l'un des coffres les plus spacieux de sa catégorie. Avec tout près de 1200 litres avec sièges rabattus, son volume est une fois et demie plus grand que celui de la Mazda3.

Sous le capot, on trouve un moteur à quatre cylindres de 1,6 litre qui produit 105 chevaux. On est loin de l'époque où la Swift était animée par un moteur dit «de tondeuse» à trois cylindres. Sans être particulièrement économique en carburant, le moteur que se partagent Suzuki, Chevrolet et Pontiac a la réputation d'avoir été fabriqué pour durer. Autrement dit, peut-être coûtera-t-il peu en réparations et en entretien supplémentaire.

Suzuki l'annonce de but en blanc, si vous désirez personnaliser davantage votre Swift+ en échangeant certaines options contre d'autres ne faisant pas partie des deux ensembles offerts, allez voir chez Chevrolet. Si, au contraire, vous préférez ne pas vous casser la tête, la Swift+ est la bonne solution.

Car considérer la Swift+ comme un véhicule différent de l'Aveo et de la Wave, c'est faire comme l'auteur Raymond Queneau et raconter 99 fois la même histoire, mais avec des mots différents.