«Mieux vaudrait apprendre à faire l'amour correctement que de s'abrutir sur un livre d'histoire», disait l'écrivain français Boris Vian. Les automobilistes russes semblent avoir adopté cette maxime.

«Mieux vaudrait apprendre à faire l'amour correctement que de s'abrutir sur un livre d'histoire», disait l'écrivain français Boris Vian. Les automobilistes russes semblent avoir adopté cette maxime.

Selon un sondage réalisé par le cabinet KRC Research pour le compte de Goodyear et publié par le journal russe Delevoy Peterburg, les Russes seraient plus de 25% à faire l'amour au volant. Ce besoin irrésistible, qui ne peut pas attendre, se pratique toujours en conduisant en Russie et il ne contribue certainement pas à placer les automobilistes russes aux premiers rangs de la sécurité routière. En effet, selon le sondage de KRC Research mené dans 14 pays européens, les citoyens de l'ancienne Union Soviétique seraient parmi les plus mauvais conducteurs du continent. Plus de 30 % ont avoué avoir conduit ivres par le passé et 23 % reconnaissent qu'ils peuvent rouler à trois voitures en parallèle sur une route à deux voies lorsqu'il s'agit de dépasser un automobiliste qui ne va pas assez vite à leur goût.

Journal Delevoy Peterburg

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