Preuve que les prototypes ne sont jamais innocents, cette étude préfigure réalistement, selon Carlos Ghosn, président de Renault, la future Twingo. Est-ce dire que les jantes de diamètre généreux, la double sortie d'échappement, les passages de roues marqués et les boucliers imposants seront sur la version définitive? À vérifier lors du lancement de ce véhicule prévu dans le courant de l’année prochaine. Chose certaine, la future puce de Renault rappelle étrangement, sur le plan visuel, l’étude Sport Concept présenté l’année dernière par Nissan au salon automobile de New York. Coïncidence?
Preuve que les prototypes ne sont jamais innocents, cette étude préfigure réalistement, selon Carlos Ghosn, président de Renault, la future Twingo. Est-ce dire que les jantes de diamètre généreux, la double sortie d'échappement, les passages de roues marqués et les boucliers imposants seront sur la version définitive? À vérifier lors du lancement de ce véhicule prévu dans le courant de l’année prochaine. Chose certaine, la future puce de Renault rappelle étrangement, sur le plan visuel, l’étude Sport Concept présenté l’année dernière par Nissan au salon automobile de New York. Coïncidence?
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Dans sa forme conceptuelle, cette citadine pur jus a été dévoilée avec sous son capot un quatre cylindres 1,2 litre dopé d’un turbo. Délivrant 100 chevaux, cette mécanique animera le fleuron de la gamme. Des mécaniques plus modestes seront également inscrites au catalogue. Produite en Slovanie, la future Twingo occupera plus d’espace sur la route que sa devancière. Plus longue de 17 centimètres et plus large de 10 centimètres, cette Twingo ne sera pas forcément plus habitable que sa devancière, mais assurément plus sûre en cas d’impact. À ce sujet, Renault vise rien de moins que la cote maximale (5 étoiles) décernée par le Euro NCAP, l’équivalent européen du National for Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) américain.