Initiée par l'étude Revolte (Francfort 2009), Citroën poursuit sa réflexion sur les véhicules électriques distinctifs et décalés avec le concept Survolt, lequel ne manquera pas d'attirer l'attention de Batman, le jour où celui-ci souhaitera rouler écolo.

Plutôt ramassé et plus court que bon nombre de sous-compactes (moins de quatre mètres de long), ce coupé biplace reprend les codes esthétiques de l'univers des sportives et reprend à son compte le style «flame surfacing» initié par le styliste Chris Bangle pour le compte de BMW. À l'avant, sa calandre ovale enchâssée de fins projecteurs horizontaux joue les contrastes entre un capot aux lignes rebondies et des flancs massifs, mis en valeur par des passages de roues marqués, promesse de performances et de sensations. À l'arrière, ce concept reprend la signature lumineuse de la Revolte, l'aileron en moins.

 

Par contre, l'utilisation de grandes surfaces vitrées apporte luminosité et sensation d'espace, aux antipodes de ce qu'offre aujourd'hui une sportive.

 

Le concept Survolt s'anime d'une mécanique tout électrique, mais la marque française se garde bien pour le moment de révéler des détails sur sa puissance ou encore sur son autonomie.