S'afficher au volant d'une voiture hybride, c'est bien vu. Certains constructeurs n'hésitent pas à verser dans le kitsch pour le clamer haut et fort. Même Ferrari a bien saisi l'engouement, un engouement qui attend son paroxysme lorsque la variable performance fait partie intégrante de l'équation.

Luca di Montezemolo, grand manitou de la marque au cheval cabré, a déclaré à Automotive News que le prochain porte-étendard de Ferrari sera propulsé par une motorisation hybride.

L'idée est toute simple dans sa forme, mais loin de l'être dans son application: réduire la consommation d'essence tout en augmentant le potentiel de performance de la bagnole, bagnole d'exception. La chose aurait été impensable ne serait-ce qu'il y a une décennie, du moins dans ce créneau.

Pour y arriver, Ferrari veut utiliser un système proche parent du KERS qui équipait jusqu'à tout récemment les bolides de la Scuderia Ferrari.

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