C'est la rentrée et votre horaire sera extrêmement serré à cause de vos cours du matin et du soir, de vos deux emplois à temps partiel et de vos nombreuses activités parascolaires. Pas sûr que les transports en commun soient adaptés à votre horaire. Surtout si vous vivez en banlieue. Il y a une solution: l'achat d'une sous-compacte d'occasion.

À condition d'être en bon état, les Toyota Yaris et Echo sont de bons achats si vous recherchez des véhicules à la bouille sympathique et à la fiabilité exemplaire, dont l'entretien et les réparations sont faciles et peu coûteux. Il faut aussi savoir que le prix demandé pour ces japonaises est habituellement plus élevé que ceux de leurs rivales américaines (Chevrolet Aveo et Pontiac Wave) et sud-coréennes (Hyundai Accent et Kia Rio). La différence de prix peut atteindre jusqu'à 40% entre deux autos de la même année.

 

Lors du lancement de l'Echo, en 2000, Toyota a importé au Canada seulement la berline quatre portes et le coupé deux portes. Les modèles à hayon trois et cinq portes ne sont venus au pays qu'en 2004. En 2006, l'Echo a été renommée Yaris. Même si les deux caisses à hayon affichent les mêmes mensurations, l'accès aux places arrière est plus difficile dans le modèle trois portes. Par ailleurs, si les trois carrosseries ont le même empattement, la berline est plus longue d'un pare-chocs à l'autre. Ce qui permet à cette dernière d'offrir un coffre à bagages environ 40% plus volumineux que celui des modèles à hayon.

 

Peu importe le millésime, le moteur est un quatre-cylindres de 1,5 litre. Même si elle n'est pas la plus vive en ville, elle est la moins énergivore et polluante de la catégorie. Pour exploiter le maximum de sa puissance, la boîte manuelle à cinq vitesses est plus appropriée que l'automatique à quatre rapports.

 

La position de conduite est haute et procure une bonne visibilité. Par ailleurs, ces petites japonaises sont sensibles aux vents latéraux sur les autoroutes. Donc, tenez le volant à deux mains!