(Rome) Le Grand Prix d’Italie va se poursuivre sur le circuit de Monza pendant cinq autres années.

L’accord actuel se termine à la fin de la saison, mais le club automobile italien a annoncé avoir conclu une entente de principe avec le propriétaire de la Formule 1, Liberty Media, sur « les détails économiques du contrat » pour maintenir la course sur le circuit historique jusqu’en 2024.

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L'an dernier, durant les essais libres avant la course au circuit de Monza, Marcus Ericsson avait planté son Alfa Romeo Sauber après avoir raté une courbe.

Le président de l’organisme, Angelo Sticchi Damiani, a également dit sur Twitter : « nous poursuivrons les négociations avec @ F1 pour parvenir rapidement à la signature du contrat. »

Monza, qui a accueilli son premier Grand Prix en Italie en 1922, est l’une des pistes les plus appréciées du circuit.

Aucun circuit n’a accueilli plus de courses de Formule 1. Il était au calendrier inaugural des années 1950 et n’a été déserté qu’en 1980, quand Imola a accueilli le Grand Prix d’Italie.

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Fernando Alonso (à d.), à l'époque pilote pour Ferrari, devance Sebastian Vettel, à l'époque pilote chez Red Bull, à l'Autodromo Nazionale di Monza le 11 septembre 2011.

Le prochain Grand Prix d’Italie aura lieu le 8 septembre.

Quatre autres GP (Grande-Bretagne à Silverstone, Espagne à Barcelone, Allemagne à Hockenheim et Mexique à Mexico) renégocient actuellement leur inscription au calendrier de la F1 après 2019.

Répondant à des articles de presse, le circuit de Silverstone a démenti mardi sur Twitter avoir d’ores et déjà conclu un accord : « pour l’instant, nous pouvons confirmer que nous n’avons pas signé de contrat, mais les négociations sont toujours en cours ».

Il se murmure de manière insistante que Zandvoort aux Pays-Bas, patrie du pilote Max Verstappen (Red Bull), pourrait faire son retour au Championnat au détriment de Barcelone.

Avec AFP