Une des grandes critiques actuellement adressées à l'industrie des biocarburants est qu'elle va littéralement chercher dans l'assiette des pauvres de la nourriture qu'on met dans nos réservoirs à essence.

Cela en fait augmenter la demande dans les pays développés et en fait monter les prix mondiaux. Or le maïs, en particulier, est l'aliment de subsistance dans de nombreux pays pauvres, là même où une hausse, même modeste, a les effets les plus graves.

Trouver une solution à ce problème est un des mandats du professeur Patrice Seers, titulaire de la toute nouvelle chaire de recherche en combustion des biocarburants de l'École des technologies supérieures de Montréal (ETS).

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