Mercedes profite de son passage à Montréal pour y dévoiler en avant-première la deuxième génération de sa Classe B. La plus accessible financièrement des Mercedes (29 900 $) conserve sensiblement la même physionomie que sa devancière, mais affiche une présentation nettement plus soignée. Surtout à l'intérieur, où la qualité des matériaux a fortement progressé.

Au Canada, la Classe B est dotée d'une motorisation inédite, à savoir un quatre-cylindres turbo de 2 litres. Celui-ci développe 208 chevaux, lesquels sont acheminés aux roues avant motrices par l'entremise d'une boîte à 7 rapports à double embrayage. Celle-ci comporte un dispositif autorisant la coupure automatique du moteur lors d'un arrêt prolongé.

La Classe B entend faire figure de référence dans son segment, et ce, en offrant l'équipement de sécurité de série le plus avancé qui ait jamais été proposé dans sa catégorie. Cela inclut 11 coussins gonflables, le freinage adaptatif, le système de détection de somnolence et des essuie-glaces à capteur de pluie, pour ne nommer que ceux-là.

Un diesel pour le GLK

Parallèlement au lancement de la Classe B, Mercedes procède aussi au lancement d'une version rafraîchie du GLK. De l'aveu de ses concepteurs, celui-ci comporte 1000 nouvelles pièces. Rassurez-vous, on ne vous les énuméra pas toutes. Ce qu'il faut retenir, cependant, c'est la possibilité d'une mécanique turbodiesel.

Ce modèle commercialisé sous le nom de GLK250 fera son entrée le printemps prochain dans les concessions. D'une cylindrée de 2143 cm3, ce moteur à injection directe d'une puissance de 190 chevaux et au couple de 369 livres-pied surprendra avec ses performances pures, mais aussi sa faible consommation. Le GLK350, avec son moteur V6 de 3,5 litres, veille aussi à ménager l'or noir et retient pour la première fois un dispositif de coupure automatique à l'arrêt intégré à sa boîte automatique à sept rapports.