Comme par le passé, la Rio se présente sous les traits d'une berline ou d'une familiale. Bénéficiant d'un empattement plus long, elle prétend offrir l'habitacle le plus vaste et le coffre le plus accueillant de sa catégorie, même lorsque le dossier de la banquette demeure en place.

Comme par le passé, la Rio se présente sous les traits d'une berline ou d'une familiale. Bénéficiant d'un empattement plus long, elle prétend offrir l'habitacle le plus vaste et le coffre le plus accueillant de sa catégorie, même lorsque le dossier de la banquette demeure en place.

Et pour faire taire les critiques, les matériaux utilisés sont non seulement plus agréables à l'oeil et au toucher, mais aussi correctement assemblés. Disparues les bavures de colle ou les têtes de vis visibles.

Toujours aussi complète, la liste des caractéristiques de série s'enrichit d'un dispositif antiblocage des freins (ABS), de disques à l'arrière (au lieu de tambours), d'un climatiseur, de glaces et de rétroviseurs à commande électrique.

Plus puissant et plus économique à la pompe que le moteur qui reposait autrefois sous son capot, le quatre-cylindres de 1,6 litre produit dorénavant 110 chevaux et 107 livres-pied de couple. Une boîte manuelle à cinq rapports l'accompagne de série- mais que ceux qui ont en horreur les « embraye-débraye » dans les bouchons de circulation se rassurent, une boîte automatique est offerte en option.

Performances accrues, reprises plus franches, freinage plus musclé, et quoi encore ? Un comportement routier plus sûr grâce à des voies plus larges, une direction à l'assistance mieux dosée, des éléments suspenseurs à la géométrie nouvelle, une barre stabilisatrice au diamètre plus important et un châssis plus rigide. Bonne nouvelle, l'ensemble est plus léger qu'autrefois.