En Amérique, plusieurs ont eu du mal à comprendre comment cette anglaise grimpée sur des talons hauts était parvenue à se hisser au sommet du palmarès européen des ventes. Il faut dire que le Freelander n’était plus tout à fait une jeunesse lorsqu’il a traversé l’Atlantique en 2002. Soucieuse de nous convaincre cette fois avec un produit plus frais, la firme britannique baptise le Freelander d’un nouveau nom (LR2) et lui enfile une carrosserie plus moderne, taillée dans le même moule que son grand frère, le LR3.

En Amérique, plusieurs ont eu du mal à comprendre comment cette anglaise grimpée sur des talons hauts était parvenue à se hisser au sommet du palmarès européen des ventes. Il faut dire que le Freelander n’était plus tout à fait une jeunesse lorsqu’il a traversé l’Atlantique en 2002. Soucieuse de nous convaincre cette fois avec un produit plus frais, la firme britannique baptise le Freelander d’un nouveau nom (LR2) et lui enfile une carrosserie plus moderne, taillée dans le même moule que son grand frère, le LR3.

Élaborée sur une plate-forme allongée et élargie de la Focus européenne, le LR2 fera sa première sortie publique au salon de Londres (du 20 au 30 juillet prochain) avant de prendre la direction des salles d’exposition des concessionnaires où il attendu à l’automne. Moins spartiate que son ancêtre, le LR2 entend faire la part belle aux performances. Pour ce faire, la version qui nous est destinée soulèvera son capot à un moteur six-cylindres en ligne de 3,2 litres (230 chevaux). Une cavalerie suffisamment imposante pour s’attaquer aux BMW X3 et Acura RDX, ses nouvelles cibles.