Dans l’enregistreuse de… Marie-José Turcotte

Chaque lundi, une personnalité nous fait part de ses émissions coups de cœur. Cette semaine, nous avons discuté avec Marie-José Turcotte, animatrice sportive à Radio-Canada et cheffe d’antenne aux prochains Jeux olympiques de Pékin, du 4 au 20 février 2022.

Leonardo

« C’est l’histoire de Léonard de Vinci. J’ai trouvé ça vraiment fascinant. J’ai appris plein de choses que je ne savais pas. J’ai toujours été fascinée par ce genre de génies, qui ont des connaissances multiples. Il pouvait peindre de façon exceptionnelle, c’était un mathématicien, un ingénieur. On est vraiment au cœur de la Renaissance, du XV^e siècle, un moment qui a révolutionné la peinture. La série porte beaucoup sur le côté perfectionniste, maladif, de Vinci : il commence beaucoup d’œuvres qu’il ne finit pas, parce qu’il n’est pas satisfait. C’est romancé, comme pour le personnage de Caterina da Cremona, mais c’est vraiment réussi. Ça m’a donné envie de lire la biographie Léonard de Vinci, de Serge Bramly. »

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En direct de l’univers

« J’aime beaucoup l’ambiance conviviale. France Beaudoin parvient toujours à rendre ça hyper agréable. La musique est au centre de l’émission et, en ces temps de pandémie, ça fait du bien. J’ai été invitée en début de saison pour la rentrée. J’avais compris que c’était une émission qui était réglée comme du papier à musique, mais d’y assister, de voir le ballet sans fin derrière les caméras, c’est merveilleux. Ça court partout pour placer les invités, placer le décor. En ondes, il n’y a rien qui paraît. J’ai été impressionnée de voir tout le travail, toute la complexité pour amener cette émission-là à sa finalité. »

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Le rêve olympique

« Mes collègues ont fait un travail d’exception. Ce que j’aime, c’est que c’est l’athlète qui est au cœur de la démarche, c’est lui ou elle qui se raconte. Ça nous permet vraiment de mieux les connaître. Il y a des noms connus comme Charles Hamelin, Max Parrot et Mikaël Kingsbury et des moins connus, mais qu’on va découvrir pendant les Jeux de Pékin, j’en suis sûre. Je pense à Éliot Grondin, un garçon de 20 ans de la Beauce qui en est à ses deuxièmes Jeux en snowboard cross, et à la jeune Valérie Grenier, qui devient une très bonne skieuse alpine. C’est léché, bien fait, professionnel. C’est à voir pour les gens qui veulent suivre les Jeux. »

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