Annick Charette considère être sortie gagnante du procès qui s’est terminé par l’acquittement de Gilbert Rozon. La plaignante, dont le nom a été dévoilé le jour du verdict, dit surtout s’être enfin débarrassée de la honte qui l’habitait depuis 40 ans.

« Je la lui remets entre les mains, qu’il s’arrange avec maintenant », a-t-elle dit, évoquant celui qu’elle a accusé de l’avoir agressée.

Lisez le texte complet sur le site du Soleil