Dimanche à Tout le monde en parle, il a été question de violence conjugale, du far web, de la situation catastrophique des restaurants et des hôtels et de la découverte d’un vaccin contre la COVID-19. Mais c’est certainement Adib Alkhalidey, maintenant auteur-compositeur-interprète, qui a offert l’entrevue la plus franche de la soirée.

Pour lancer son premier album, l’humoriste a d’abord voulu se cacher derrière le pseudonyme d’Abelaïd, mais a fini par se dévoiler. Une « sortie du placard » pour l’artiste, qui craignait de perdre des amis en se dévoilant ainsi. L’œuvre est sombre, loin du personnage que l’on connaît. Une mélancolie qui n’a rien à voir avec le confinement, mais bien parce que « tous les humoristes ont un côté mélancolique », rappelle-t-il. « En humour, t’es toujours tout seul. […] Une solitude qui est violente à quelque part. En musique, tu rencontres des gens à chaque étape. »

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