Z a déjà donné dans le documentaire sur le porno, et chaque fois, avec beaucoup de succès. Faut-il s'en étonner? Nouveauté de la programmation d'automne de cette chaîne consommée surtout par des hommes, Porn to be Wild s'ajoute à cette liste, en suivant une Québécoise de Chicoutimi et un Néo-Brunswickois francophone évoluer dans cet univers à Los Angeles.

Tout un personnage que ce Jessy Jones, installé là-bas depuis 10 ans, et qui figure maintenant parmi les trois plus grandes stars de l'industrie sur la côte Ouest. Quand il a commencé, jeune, à regarder du porno, dans son patelin de Val-Lambert, il se faisait dire qu'il ne «faiserait» jamais rien de sa vie. «Je gagne 25, 30 fois plus d'argent qu'ils font» aujourd'hui, souligne-t-il, triomphant. La routine est stricte: il passe un test de VIH toutes les deux semaines. Son point fort: il reste dur longtemps. C'est pas moi qui le dis.

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