Si l'aventure du spectacle de la Fête nationale fonctionne bien pour Guy A. Lepage, il n'est pas dit qu'il ne renouvellera pas l'expérience. Mais sa carrière, souligne-t-il, il la mène un an à la fois.

«Je n'ai jamais signé de contrat de plus d'un an dans ma vie. Je suis contre ça, étant un vrai pigiste dans l'âme», a-t-il déclaré à La Presse mercredi.

Questionné pour savoir si, comme tel, il accepterait, comme le font d'autres célèbres pigistes, une chronique au Journal de Montréal, il s'est fait tranchant dans sa réponse: «C'est rare que je commente les choses que je ne fais pas, mais je n'irais sûrement pas travailler dans un journal qui est en lock-out.»