La pianiste et auteure-compositrice Alexandra Stréliski s’associe à Mathieu Morin et Maxime Navert pour mettre la main sur le studio Lamajeure, spécialisé en postproduction sonore pour la publicité, le doublage, les expériences immersives et la composition de musique originale.

Stréliski, Morin et Navert étaient tous trois actionnaires minoritaires du studio depuis 2015. « La pandémie de la COVID-19 et les mouvements sociaux des derniers mois nous ont fait réfléchir à notre avenir, a indiqué la musicienne dans le communiqué. Dans mon cas, j’ai senti le besoin d’assumer mon rôle de femme entrepreneure, de contribuer à la création d’emplois pour les gens du secteur culturel et d’investir dans la créativité québécoise. Je souhaite que le studio Lamajeure continue à propulser son énergie créative et devienne un pôle d’attraction pour les jeunes talents d’ici. »

Alexandra Stréliski agira à titre de partenaire d’affaires, d’ambassadrice et de consultante spéciale pour Lamajeure. Elle profitera par ailleurs du studio pour développer ses projets de musique à l’image, sa carrière de pianiste demeurant néanmoins sa priorité.

« En se réappropriant Lamajeure, nous allons investir dans le studio pour en faire une boutique de production d’idées, de sonic-branding et de création de réputation internationale, a souligné de son côté Maxime Navert, codirecteur général et chef de la création. Lamajeure regorge de talents et possède des équipements à la fine pointe de la technologie. […] Toutes les conditions sont réunies pour passer au niveau supérieur et développer de nouveaux marchés, que ce soit pour des films, des musées ou des expositions immersives. »

Le « nouveau » studio Lamajeure compte travailler sur de nouveaux projets publicitaires, mais aussi poursuivre son ascension sur la scène internationale et œuvrer sur des expériences et installations immersives.

Depuis 2015, c’est la maison de production Attraction, de Richard Speer, qui était actionnaire majoritaire du studio Lamajeure.