Normalement, Pretenders auraient dû être en spectacle à Québec. La pandémie étant ce qu’elle est, on va devoir se contenter de Hate for Sale. Et c’est vraiment dommage parce que ce 11e album du groupe anglais sonne comme dans les beaux jours de Learning to Crawl (1984).

Remarquez, Break Up the Concrete (2008) et Alone (2016) étaient très réussis. Sauf que la bande à Chrissie Hynde arrive cette fois avec un essai rock/new wave old school en forme de condensé : des pièces de trois minutes, gros max, avec des guitares affûtées, de l’attitude et une pincée de reggae (sur Lightning Man).

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IMAGE TIRÉE D’INTERNET

Pochette de l’album Hate for Sale