Pour plusieurs, le jazz montréalais se résume encore à quelques noms... que l'on ne nommera pas, question d'éviter tout conflit de chapelle. Chose certaine, jamais le niveau n'a jamais été aussi élevé qu'il ne l'est aujourd'hui.

Chose absolument certaine, le jazz d'ici ne peut être réduit à cette idée  réductrice encore véhiculée en 2010, soit à  un simple complément d'orchestre aux pointures de réputation internationale qui se pointent chez nous, surtout en juin-juillet.

Pour une onzième année consécutive, l'Off Festival de Jazz de Montréal s'applique à infirmer cette impression.

À quelques jours de cette manifestation devenue automnale, c'est-à-dire présentée du 15 au 23 octobre prochains, La Presse/Cyberpresse emboîte le pas et choisit de présenter trois portraits de jeunes jazzmen considérés parmi les plus doués de leur génération.