Ce n'est pas parce qu'on rit que c'est drôle, et ça se confirme dans ce numéro consacré à l'humour, notre sport national.

Les deux articles à mon avis les plus intéressants ne sont pas drôles du tout. Un reportage sur le surmenage chez les humoristes (oui, le clown est triste) ainsi qu'une rencontre avec le patron de Juste pour rire, Gilbert Rozon, qui semble sceptique face au jeu de l'entrevue.

Dommage, car j'en aurais pris encore cinq feuillets tellement le personnage est intrigant.

Un numéro dans lequel on se rend également compte qu'Urbania en a fait du chemin depuis que l'équipe vendait des exemplaires à la braderie du boulevard Saint-Laurent (des publicités de Holt Renfrew? Vraiment?)