Le nouveau roman de Bernard Gilbert, traversé par la crise climatique et des déboires politiques menant à des guerres, transforme la société telle qu’on la connaît aujourd’hui. Dans Les singes bariolés, l’homme fait face, en l’espace de 1000 ans, à la fin de son hégémonie sur Terre et apprend à l’accepter.

« Évidemment, on n’écrit pas ce genre d’histoires pour avoir raison », lance Bernard Gilbert au bout du fil.

En entrevue avec Le Soleil, l’auteur originaire de Québec, que l’on connaît également en tant que directeur général du théâtre Le Diamant, explique que Les singes bariolés est un roman philosophique qui « pose des questions propres à notre monde », une « fable » qui porte une morale.

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