Le Salon international du livre de Québec (SILQ) s’est défendu, mardi, d’être insensible face à la réalité des auteurs québécois. L’organisation affirme d’ailleurs avoir entamé, dès le 18 février, soit 24 heures après le lancement de sa programmation, des « discussions » avec l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) à propos du cachet à verser aux auteurs de son volet jeunesse.




Par voie de communiqué, le Salon explique avoir proposé « de bonne foi » aux auteurs un montant de 75 $ puisqu’il estimait que « cette rémunération correspondait aux expériences antérieures et aux capacités financières exprimées par les écoles ».

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