« Il y a une différence entre s’abandonner à quelqu’un de bienveillant et s’abandonner à quelqu’un pour qui on devient une proie. Oui, il faut s’abandonner dans une relation amoureuse, mais pas jusqu’à accepter d’être détruite », estime Danielle Fournier. Dans Celle qui ne craint pas la joie, l’écrivaine dénonce « l’homme pervers narcissique » et les relations amoureuses toxiques qu’il sème sur son passage.

Grand-mère, mère et fille, cousine, amie ou vague connaissance, presque toutes les femmes ont déjà rencontré un « pervers narcissique » ou en ont entendu parler. Malheureusement, certaines tombent encore sous sa griffe, déplore Danielle Fournier, en entrevue avec Le Soleil.

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