Quelques déclarations marquantes lors du 37e Gala de l'ADISQ qui se déroulait hier soir à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts.

«Je le désirais profondément. C'est un album avec une symbolique vraiment grande. C'est la pointe de l'iceberg d'un moment de vie hyper riche. [...] Je voudrais remercier tellement de monde, surtout les piliers de cet album, ma famille: Florence et nos enfants Paul et Henri, qui sont la sève de ce disque-là.» - Ariane Moffatt, gagnante, album pop de l'année

«Le problème avec tous les Spotify, c'est qu'il reste à peu près deux sous par chanson aux artistes, aux auteurs. Et il y en a qui sont pas contents. Je comprends, je comprends. Mais qui a inventé ça, Spotify? Avec ses propres règlements de vie, qui a décidé que c'était légal? Ben trouvez le Billy Spotify, pis faites-y mal!» - Louis-José Houde, animateur

«Merci aux diffuseurs qui ont accueilli ce spectacle-là. Merci aux diffuseurs qui ne l'ont pas accueilli. J'imagine qu'on va se voir dans un délai pas très long.» - Patrice Michaud, lauréat du prix du spectacle de l'année - auteur-compositeur-interprète

«C'est Ariane Moffatt qui me le donne, c'est fou, ça! Je capote! C'est la première fois que je remporte un prix, je voudrais vous dire merci.» - Marie-Pierre Arthur, gagnante, album adulte contemporain

«Je voudrais remercier les gens qui aiment mes chansons. Ça fait du bien!» - Jean Leloup, gagnant du Félix auteur ou compositeur de l'année

«Un gros merci aussi à mon amour, ma copine... dont malheureusement, vite de même, j'oublie le nom.» - Philippe Brach, révélation de l'année