Notre photographe Martin Chamberland s’est promené dans les salles vides du Musée des beaux-arts de Montréal — fermé au moins jusqu’au 23 novembre —, immortalisant quelques-unes de ses œuvres dans la pénombre où elles ont été laissées depuis le 1er octobre dernier, en tentant de capter le « silence visuel » qui leur sert de toile de fond.
PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE
À gauche de cette même sculpture (que l’on voit ici de face), deux huiles sur toile de Renoir : Tête de jeune fille napolitaine, 1881, et Nature morte au melon et aux pêches, 1905.
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Dans les salons de la Belle Époque, une sculpture en bronze patinée de Francisque-Joseph Duret, Chactas en méditation sur la tombe d’Atala, réalisée vers 1836. Au font, une toile de John Frederick Kensett, Sur l’Hudson, 1855.
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La sculpture de marbre de Salvatore Albano Nymphe se reposant, 1884, entourée de toiles de James Tissot, Octobre, 1877, et de Thérèse Schwartze, Une mère et ses enfants à l’église, 1886.
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La sculpture en bronze de Michel Anguier Amphitrite, vers 1652
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Une des épreuves originales de la pièce en bronze Le penseur, de Rodin, réalisée entre 1902 et 1909
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La sculpture en terre cuite de Robert-Guillaume Dardel Marie-Antoinette sous les traits de la Bonté, 1785, avec le Portrait de Madame Mercier, vers 1780, de Jean-Baptiste Greuze
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La sculpture en marbre de Pierre Julien La nymphe Amalthée ou La jeune fille à la chèvre, 1786-1787
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Dans la Galerie Napoléon, de dos, la sculpture de marbre L’apothéose de Napoléon Ier, vers 1830, de l’atelier de Bertel Thorvaldsen (1770–1844)
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La sculpture en bois polychrome de Christian Jorhan l’Ancien de Saint Joseph et l’Enfant Jésus, vers 1780-1790
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La sculpture de marbre Buste du cardinal Léopold de Médicis, vers 1690, de l’atelier de Giovanni Battista Foggini (1652-1725)
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Une maquette de la cathédrale Santa Maria del Fiore, dite Le Duomo, Florence (1295-1467), réalisée en 1977-1978 selon les plans de l’architecte Antoine Polisois