Chaque semaine, nos photographes vous présentent le fruit de leur travail sur un thème donné. Olivier Pontbriand s’est promené dans le féerique parc éolien de l’Érable afin de capturer la beauté des grandes dames de fer.
Les éoliennes percent désormais le sommet de plusieurs de nos montagnes, notamment dans le Centre-du-Québec, changeant l’horizon de nos campagnes. C’est en marchant aux pieds de ces géants de fer qu’on apprécie véritablement leur grandeur. Nos plus hautes éoliennes s’élèvent au-dessus de la mêlée comme des tours de 31 étages. Promenade dans une forêt d’arbres métalliques géants.
PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE
Le parc éolien de l’Érable, à une trentaine de kilomètres de Victoriaville, se trouve dans une région parsemée de fermes, de terres à bois et d’érablières.
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Situé sur le territoire des municipalités de Saint-Ferdinand, de Sainte-Sophie-d’Halifax et de Saint-Pierre-Baptiste, le parc éolien de l’Érable correspond à une puissance installée de 100 mégawatts pour 50 éoliennes.
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Non, le propriétaire de cette maison ne s’est pas doté d’une nouvelle antenne parabolique. Cette éolienne fait partie de celles qu’exploite l’entreprise espagnole Enerfin.
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Les éoliennes sont des turbines ENERCON E-82, qui produisent chacune 2 MW d’électricité. La plus puissante éolienne, installée cette année aux Pays-Bas, a une puissance de 12 MW et atteint 260 m de hauteur.
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C’est impressionnant, une base du mat d’une éolienne, un dispositif qui transforme l’énergie cinétique du vent en énergie mécanique.
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La pale d’une éolienne se greffe aux branches des conifères. Une pale peut mesurer de 23 à 60 mètres de longueur, selon la technologie retenue.
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Atmosphère entre chien et loup dans la municipalité régionale de comté de L’Érable. Les grandes dames de fer vont aussi se reposer pour la nuit…