Journée nationale des Peuples autochtones À lire, à voir, à écouter

Shuni, de Naomi Fontaine

Naomi Fontaine souhaite parler des Innus, les présenter, au-delà des statistiques. Au fil des pages de son roman Shuni, elle apprend au lecteur à les connaître.

Nin Auass, Moi l’enfant

Avant la pandémie, les poétesses Joséphine Bacon et Laure Morali ont animé en duo des ateliers d’écriture dans les 10 communautés innues du Québec. Le résultat, c’est 350 pages de poèmes écrits par des enfants et des adolescents, présentés en innu-aimun et en français.

Contre le colonialisme dopé aux stéroïdes – Le combat des Inuit du Québec pour leurs terres ancestrales, de Zebedee Nungak

L’écrivain Zebedee Nungak, qui a participé aux négociations de la Convention de la Baie-James, expose le point de vue des Inuits et montre bien que ces derniers, sans aucune manière d’exprimer leur opposition, ont été les grands perdants dans toute cette affaire.

Kukum, de Michel Jean

Avec Kukum, Michel Jean, l’une des voix masculines de la littérature innue, a réussi quelque chose qu’aucun documentaire, reportage ou livre d’histoire ne pourra jamais faire : toucher vraiment le cœur des gens.

Un thé dans la toundra – Nipishapui nete mushuat, de Joséphine Bacon

La poète et réalisatrice innue Joséphine Bacon a publié en 2014 Un thé dans la toundra, un magnifique recueil de poèmes en français et en innu.

Payer la terre, de Joe Sacco

Le père de la BD reportage, Joe Sacco, se penche sur le sort de la nation des Dénés aux Territoires du Nord-Ouest. À partir d’entrevues journalistiques réalisées sur place, le dessinateur dresse un portrait fouillé et équilibré des Dénés.

Wildhood, de Bretten Hannam

Wildhood, du réalisateur micmac bispirituel Bretten Hannam, traite de l’homosexualité chez les autochtones. Il est question de relations entre deux ados bispirituels micmacs de Nouvelle-Écosse.

Je m’appelle humain, de Kim O’Bomsawin

Entourée d’amies proches et marchant sur le territoire de ses ancêtres innus, la poétesse Joséphine Bacon, 73 ans, revient sur les grands évènements qui ont marqué sa vie et sur sa quête incessante de faire vivre et de préserver sa langue et sa culture.

Pour toi Flora, de Sonia Bonspille Boileau

Pour toi Flora retrace le parcours de jeunes Anishinaabe arrachés à leurs parents et placés sous l’autorité des oblats, au cœur des années 1960, dans le but d’être assimilés et évangélisés.

Nikamo, de Samian

Avec Nikamo, le rappeur originaire de Pikogan, petite communauté autochtone d’Abitibi-Témiscamingue, propose un premier album presque tout en langue anishinaabemowin.

Dreamweaver, d’Anachnid

Avec Dreamweaver, premier album riche aux sonorités contemporaines et le prix de l’auteure-compositrice autochtone de la Fondation SOCAN sous le bras, la jeune chanteuse Anachnid commence à peine à nous surprendre.

Wolastoqiyik Lintuwakonawa, de Jeremy Dutcher

Le ténor de formation classique Jeremy Dutcher a entrepris d’actualiser et de prolonger musicalement des enregistrements effectués dans sa communauté, la nation des Wolastoqiyik, entre 1907 et 1914.

Chansons rassembleuses – Nikamu Mamuitun

Florent Vollant est codirecteur artistique de l’album Chansons rassembleuses (Nikamu Mamuitun), qui réunit les œuvres communes de huit jeunes artistes autochtones et non autochtones.

Waska Matisiwin, de Laura Niquay

Même si la vie est dure, même si la vie est injuste, même si la vie peut être cruelle, l’artiste atikamekw cherche d’abord la lumière.