Les gouvernements des pays industrialisés ont compris il y a belle lurette que taxer les dépendances - tabac, alcool, jeux de hasard et pétrole - est une façon facile et efficace de renflouer les coffres de l'État.

Pas plus bête qu'un autre, le gouvernement britannique songerait maintenant à taxer une autre grosse addiction des temps modernes : Google. Lire la suite sur le blogue de Tristan Péloquin